Grenier (Divoux), Fernande - Avis de décès | Fédération des coopératives funéraires du Québec

Grenier (Divoux), Fernande

GRENIER (DIVOUX), Fernande

1928 - 2017

Rouyn-Noranda: Est décédée au CISSS AT de Rouyn-Noranda, le 11 août 2017, à l'âge de 88 ans, Mme Fernande Grenier, domiciliée à Rouyn-Noranda.

Mme Fernande Grenier laisse dans le deuil son époux : M. Jean Divoux; ses filles: Diane, Solange et Linda ainsi que leur conjoint; ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants, ses beaux-frères et belles-soeurs, ses neveux et nièces ainsi que de nombreux parents et amis (es).

Mme Grenier sera exposée à la Résidence funéraire du 10, rue Reilly à Rouyn-Noranda, le lundi 14 août 2017 de 10h à 16h.

Les derniers adieux auront lieu, le lundi 14 août 2017 à 16h, à la Chapelle de la Résidence funéraire de Rouyn-Noranda.


3 messages reçus

Cher Jean

Moi et René sommes de tout cœur avec toi et nous partageons ta peine. Des circonstances hors de notre contrôle nous empêche d'être auprès de vous mais sachez que nos pensées vous accompagne.
Grand-maman a toujours eu une place de choix dans mon coeur et toujours elle le restera.

Sandra xox, le 11 août 2017

Chères tantes

Je vous fais un tendre câlin et vous exprime mes plus sincères sympathies. Mes pensées vont vers vous.
Xox

Sandra, le 12 août 2017

Grand-maman

Hommage à ma Grand-Maman d'amour!!

Ceux qui l'ont connue, savent combien elle aimait rire, compter des blagues, parler de tout et de rien. Elle avait toujours une expression drôle à dire; je vous cite ma préférée. Lorsqu'elle oubliait quelque chose, elle disait toujours: "Quand on n'a pas de tête, ben y faut avoir des jambes" à chaque fois cela me faisait rire devant la réalité des mots.
Et dernièrement lors d'une de mes visites au pavillon Larouche, elle m'a récité alors que je lui demandais: "Comment ça va Grand-Maman? " Elle m'a répondu avec un beau sourire : "Je vais bien car heureux les creux le royaume des cieux est à eux."

Elle adorait les beaux jardins remplis de fleurs. Elle parlait souvent de la France et des fleurs que l'on retrouvait partout. Son jardin, à Destor, en était tout un. La seule chose qui manquait était du maïs qui se refusait à y pousser. Vous pouvez imaginer sa surprise lorsque dans mon minuscule petit jardin au Témiscamingue je réussissais à faire pousser du maïs. Suite à cette exploit, j'ai eu droit à des mirabelliers qu'elle avait ramené illégalement de la France et oui y avait rien à son épreuve. J'ai aussi, depuis plus de 8 ans, un splendide géranium qui me suit dans nos nombreux déménagement avec la GRC. Il me rappèle combien grand maman est importante dans ma vie et me manque.
Je me souviens de la joie de pouvoir manger une carotte fraîche et des petits pois du jardin. Et du petit verre de jus carotte qu'elle me donnait le matin, miam, que c'était bon. Sa soupe au chou, les fameuses cornes de mouton. Et bien sûr ses belles framboises qu'elle et Jean ramassait avec délicatesse pour aller les vendre en ville.
Si je vous disais que ma grand maman faisait la meilleure confiture du monde, le plus bon des pains maison et des tartes aux sucres au goût du ciel. J'ai gardé dans mes souvenirs le goût de son merveilleux civet de lapin, je voudrais tellement en manger encore.
Toute petite j'aimais regarder avec elle dans son coffre à bijoux et l'entendre me raconter ses souvenirs. Fouiller aussi dans son énorme pot remplis de boutons, il y en avaient de toute les couleurs et formes. Je me souviens aussi de ses discussions avec sa sœur Rolande sur une cassette qu'elles s'envoyaient par la poste. Elles étaient bien complice ces deux-là, elles en ont joué des tours pendables.

Je me rappelle de Cocotte et Katou, deux caniches, qui ont fait son bonheur pendant longtemps. Pour moi, Katou n'avait rien d'amusante car si j'approchais trop de grand-maman elle se mettait à grogner et me montrait ses dents. Donc quand un aigle est venu un jour la choisir comme proie et que cela n'a pas fonctionné j'étais disons un petit peu déçu.

La mode était une autre de ses grande passions (elle se plaisait à faire de la couture et créer des modèles de vêtements dignes des grandes boutiques). La création ne lui faisait pas peur bien au contraire. Elle avait ça dans le sang.

Quoi dire de la pêche, elle adorait ça mais elle ne pouvait pas y aller toute seule, elle disait : "ok si jamais je tombe par terre tu dois me mettre une des ses petites pilules sous la langue". Donc pour moi la pêche c'était plutôt ma grand maman le poisson!! Et à la voir tabasser le poisson en disant "Ça c'est pour éviter qu'il souffre." me laissait un peu perplexe sur mon envie qu'elle en attrape d'autres. Pêcher pour, grand-maman, c'était un peu comme le paradis donc on l'accompagnait et on priait pour qu'elle n'ait aucun malaise cardiaque.

Son courage, sa force, sa détermination, sa créativité, son grand sens des responsabilités, ne sont que quelques unes de ses belles qualités.
Elle va tous nous manquer et pour Jean les prochains mois seront difficile mais je sais que grand-maman fera tout son possible d'en haut pour apaiser ta tristesse.

Au moment où j'écris ses mots je suis sur l'île Vancouver il m'est impossible d'être présente mais je suis de tout cœur avec vous.

Sandra qui vous aimes xox

Sandra, le 14 août 2017

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