7 messages reçus
À Martin dubuc
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
Jacques Chénard, le 6 juillet 2015
À Martin
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
Famille Plourde-Leclerc, le 6 juillet 2015
la famille
Je tiens a offrir mes condoléances a toute la famille.
Michael , le 7 juillet 2015
À Johanne
Perdre ses deux parents en moins d'un an! Johanne,toi que je connais le mieux, je suis avec toi de tout coeur. Je garde un très beau souvenir de Jacques et de Claire. Deux personnes exceptionnelles. Je me considère chanceuse de les avoir connues. Mes sympathies à tous ceux qui sont touchés de près ou de loin par le départ de Jacques tout récemment Je serai avec vous en pensées samedi. Merci d'avoir pensé à moi!
Jeannine Angers, le 7 juillet 2015
À Martin
Bon courage dans cette épreuve de deuil, d'autant plus douloureuse qu'elle survient peu après le décès de ta chère mère. Mes plus sincères condoléances.
Isabelle Chouinard, le 8 juillet 2015
À Johanne et Martin
Jacques était un très grand ami de mon père qu’on a toujours appelé “mononcle Jacques”! Jacques a toujours apporté beaucoup de bonheur par sa présence et son humeur rapide. Une visite de Jacques, Claire, Martin et Johanne était toujours une assurance pour une journée ou soirée de rire du début à la fin. J’en garde de très beaux souvenirs. Jacques, je te souhaite une bonne éternité. Johanne et Martin, sincère sympathies.
Yves Bernier, le 8 juillet 2015
À Johanne Dyotte et Martin Dubuc
Johanne et Martin, ainsi que votre famille. Jean et moi vous offrons nos plus sincères condoléances. Nous ne pourrons êtres des vôtres, mais y serons en pensées. Toutes nos sympathies, Lise Bernier et Jean Robitaille
Marie Lise Bernier, le 9 juillet 2015